Qui est Alain Maskens ?

Alain Maskens est médecin. Après avoir pratiqué la cancérologie en recherche et en clinique, il s’est tourné vers l’informatique médicale où il est à présent actif comme consultant.

Alain EGB Dans le cadre de son expérience professionnelle en cancérologie, il a créé l’Association Européenne de Recherche sur la Prévention du Cancer.

Dans le cadre de son activité en informatique médicale, il a créé une entreprise encore active aujourd’hui à Bruxelles.

Médecin, chercheur, entrepreneur, Alain Maskens est également un citoyen inquiet de la résurgence des nationalismes basés sur des critères identitaires (langue, religion, ethnie), et sur la montée des comportements politiques d’extrême droite qui l’accompagnent souvent.

Il s’est dès lors penché sur la problématique linguistique en Belgique, et à publié à ce sujet de nombreux articles, ainsi que deux livres :    

 


MonoMono

Mono-Flamands et Mono-Wallons –
errances et dangers des idéologies
mono-identitaires(2000)

alain

Bruxelles face aux faux-semblants du fédéralisme belge  (2004) 

Conscient du rôle que pourrait prendre Bruxelles dans la promotion d’un modèle  de société où la diversité est valorisée et où la solidarité prend le pas sur les différences, il a participé à la réflexion citoyenne à Bruxelles, en co-rédigeant en 2002 le Manifeste bruxellois (NL versie) et en participant, en 2003, à la création de l’asbl Manifesto, qu’il a présidée jusqu’en 2008. Avec Manifesto, il a co-rédigé le 2ème Manifeste bruxellois (NL versie), a participé à la rédaction de l’Appel des Bruxellois (NL versie) et à la création de la Plate-forme de la société civile de Bruxelles (NL versie), instigatrice des récents Etats Généraux de Bruxelles.

Dans ce contexte, à de nombreuses reprises, Alain Maskens a appelé les partis politiques à s’organiser sur une base régionale et à se fédérer au niveau belge.

Il a renouvelé cet appel dans un livre paru en février 2014 : « Bruxellois révoltez-vous !  Pour Bruxelles, pour la Belgique, pour l’Europe » (février 2014).

 

 

Malheureusement, tous les partis traditionnels sont restés organisés sur base linguistique, séparés au niveau fédéral.  Quelle que soit la qualité des hommes et femmes politiques et des programmes des partis traditionnels, aucun ne permet à l’électeur bruxellois de voter pour un projet qui rassemble tous les citoyens  au-delà des communautés de langue.

Aujourd’hui, en s’inscrivant en 72ème place de la liste de ProBruxsel pour les élections régionales du 25 mai, Alain Maskens souhaite offrir aux Bruxellois la possibilité d’exprimer enfin un tel choix.